Ça fait belle lurette
Qu’il nourrit tout le monde
Quand t’en laisse une miette
Les oiseaux font la ronde
On …

Legir tot

Ça fait belle lurette
Qu’il nourrit tout le monde
Quand t’en laisse une miette
Les oiseaux font la ronde
On met les mains dedans
Depuis la nuit des temps
La farine et de l’eau, il en faut
Il suffit d’un peu d’ail
D’une tomate fraiche
Minot on se régale
Les babines on se lèche

Pain pain pain bon pain !Aqueou Baptistin
Pain pain painbon pain ! La chanson me revient.

Passe le pain
Change de main
Envoie la farine
Fais tourner les pétrins…

Allez cousin
Pour du bon pain
Saint honore je prie
Tous les matins…

Sa croute est plus dorée
Qu’un soleil du midi
Franchement ça le fait
Boulanger par ici
Saint-honoré c’est toi
Qui bénis tout ce pain
Qui nous mets de la joie, dans les mains
On garde la recette
Pour vivre en harmonie
Chante-la dans la tête
Ça donne l’appétit.

Refrain

Bon pain !

Oh bella Isabella
A peine je t’ai vu
Je suis resté fada
Comme un kilo de glu
J’ai eu les …

Legir tot

Oh bella Isabella
A peine je t’ai vu
Je suis resté fada
Comme un kilo de glu
J’ai eu les jambes molles
Comme deux spaghettis
Dans une casserole
Au repas de midi.
Je t’invite au restau
Car si la faim m’appelle
Je trouve plus les mots
Garçon la mozzarelle
La pizza était bonne
Mais au meilleur moment
Elle cria: " Madone,
J’ai plus faim comme avant!"

Mango, mango!
Isabella, non mangia la pizza.

Au fromage, à l’anchois
Moi je les aime toutes
Pourquoi tu manges pas ?
Il faut que tu m’écoutes
C’est bon comme le pain
Allez prends une olive
Un bon verre de vin
Mais qu’est-ce qui nous arrive.

Mango, mango!
Isabella, non mangia la pizza.

T’es en bas de l’échelle
T’es plus dans mon estime
T’es juste à peine belle
Que pour faire la rime
Y’aura pas de prochaine
Je sors plus avec toi
Ça me fait de la peine
J’ préfère la pizza!

Mango, mango!
Isabella, non mangia la pizza.

Je ne suis qu’une sardine
Qui ne se met pas des gants
Pour haranguer les cousines
Que l’on prend pour …

Legir tot

Je ne suis qu’une sardine
Qui ne se met pas des gants
Pour haranguer les cousines
Que l’on prend pour des harengs
Ve je fais ma sardinade
Avec les pécheurs de thon
Même si ça rend malade
Green peace et quelques couillons.

Je ne suis qu’une sardine
Qui ne baisse pas les bras
Je cherche maï une usine
Qui voudrait encore de moi
Pour faire vivre mon ban
Sans m’éloigner du rivage
Je ferais couler le sang
Si on touche à mes coquillages

Dans les eaux de Marseille
C’est la que je suis ne
Demain si la mort m’appelle
C’est la « qui » faut m’enterrer
Lâchez-moi les bretelles
Car je vais m’engatzer
La pêche bat de l’aile
Sauf pour les espagnols (olé) et pour les japonais ! Banzaï !

Gouttez-moi les merlans
Gouttez-moi les mérous
Pitez les fioupelans
Gégé gemmant les mange-tout
Gouttez-moi les girelles
Y’en a plein les bateaux
Et y’a même isabelle
Qui va mango mango !…

Gouttez-moi les fielas
Gouttez-moi les soupions
Risquez-vous la rascasse
Qui mord a l’hameçon
Gouttez les papas pageots
Et les petits rougets
Calez-vous les calambos
Quand les feux sont sur les quais.

Yo ! Si les filets sont mal mailles... Yo ! La sardinelle peut passer

Je ne suis qu’une sardine
Je veux la des lamparos
C’est par ici les frangines
C’est au cul de ce bateau
Finissons en poisson frais
Dans les mains des poissonnières
Qui chantent le marseillais
Autant que ça peut se faire.

Voila ! Allez, vas-y minot
Approche-toi du caisson, tu te prends bien le son dans le teston
En direct des …

Legir tot

Voila ! Allez, vas-y minot
Approche-toi du caisson, tu te prends bien le son dans le teston
En direct des quartiers de Marseille, du son des marseillais spécialement pour toi…. Allez vas-y minot envoie
Bougez… sur le son bougez… dansez… sur le son dansez
Si tu ne bouges pas tu n’es pas marseillais !
Si tu ne danses pas tu n’es pas marseillais !

Oh mon dieu que c’est beau
Quand on voit ce monde devant
Taper sur le tempo
Comme on dit faire du boucan
Les gros comme les pitchons
Ici se donnent à fond
On y va demoiselle
Lève les bras un peu plus haut
Ça nous donne des ailes
Pour chanter comme des oiseaux
Les mots de nos chansons
Puisque t’es un avion…..
Bougez ! Bougez !

Rejoins-nous dans l’arène
Quand il y a plus de taureaux
La musique est la même
Mais c’est juste un peu moins chaud
On danse comme on danse
Ça n’a pas d’importance.

Bougez… sur le son bougez… dansez… sur le son dansez ( 2 fois )
Si tu ne bouges pas tu n’es pas marseillais !
Si tu ne danses pas tu n’es pas marseillais !

Ça chante les cigales
Mais on n’attend pas l’été
L’hiver c’est dans les salles
Que tu peux nous y trouver
Sur la place du village
En attendant la plage !
Oh ça tu le sais bien
Que notre graine, c’est les mots
Comme le romarin
On aime la terre, le ciel et l’eau
Alors aux quatre vents
On sème le plus souvent

Bougez… sur le son bougez… dansez… sur le son dansez ( ad lib )

Si j’étais un santon
Peut-être je serais un ange
Dans ma boite en carton
C’est pas question que je dérange …

Legir tot

Si j’étais un santon
Peut-être je serais un ange
Dans ma boite en carton
C’est pas question que je dérange
Je serais rémouleur
Ou ce fada de pistachier
Pécheur ou bien chasseur
En moins que je sois cure.

Si j’étais un santon
Je serais berger ou boumian
J’aurais un pantalon
Qui m’irait cent fois trop grand
J’aurais la belle vie
Une lanterne dans les mains
Je serai le ravi
A la fenêtre du moulin.

On me ferait tomber de la farine sur le dos
Pour faire croire qu’il neige des blancs manteaux
J’aurais sous mes souliers de la mousse verte séchée
Fais attention de ne pas glisser

Je serais provençal en terre cuite
Ou bien napolitain en drap de lin
C’est pas dans les étoiles que j’habite
Je suis un marseillais napolitain.

Si j’étais un santon
Je parlerais à la madone
Je lui dirais les chansons
Jusqu’a me rendre aphone
Je serais le brigand
Qui vit en, haut de la colline
L’aveugle ou le mendiant
Ou le ramasseur d’olives.

Si j’étais un santon
Je parlerais avec les mains
Je ferais le maçon
Pour que la crèche tienne bien
J’implorerais les saints
Tous les jours du calendrier
Bonne mère garde bien
Tout plein d’amour pour saint janvier.

Refrain

Oh tu me la mets cette musique ou quoi ?
Marseille en chantier, coquine ! Marseille enchantée !
Tu chantes …

Legir tot

Oh tu me la mets cette musique ou quoi ?
Marseille en chantier, coquine ! Marseille enchantée !
Tu chantes et tu danses, non tu n’as pas trop change
Marseille en chantier, coquine ! Marseille enchantée !
Tu prendras des vacances quand tout sera termine

Tu fais de la musique
A coup de gros marteaux piqueurs
Pas besoin que l’on t’explique
T’as le tempo dans ton cœur
Tu rejoues sur la gamme
Des gens les plus nostalgiques
Ils vont reprendre le tram
Dis ! C’est presque l’Amérique.

Chanter ! Même en plein chantier ça tu sais, chanter
Marseillais tu sais
Chanter ! Même en plein chantier ça tu sais, chanter
Marseillais !

Tu fais ta L2 tranquille !
Belle transversale
Faudrait être un imbécile
Pour dire que c’est « quedal »
Cette belle route grande
Donne des airs de capitale
Mais moi je me demande
Si ça fait chanter les cigales...

Faut voir comme ça pousse
A la jolie joliette
On dit que tu te la coules douce
Et que t’en fais qu’a ta tête
T’as l’Europe à tes pieds
Et t’as les pieds dans l’eau
L’euro-méditerranéen
Tout ça ça fait du boulot.

Refrain

On va se la refaire du début… Marseille en chantier ! Coquine…

Tu vas changer les visages
De tous nos petits quartiers
Mais les âmes sauvages
Sont jamais apprivoisées
C’est des oiseaux de zoo
Qui font aux gars des galegeades
Des cuicuis des cocos
Des envolées sur fond de rade.

Recuerdo pepe cubano !
Ben ben olé la vida
Nous on sort les guitares
A défaut de couteau
Pour trancher …

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Recuerdo pepe cubano !
Ben ben olé la vida
Nous on sort les guitares
A défaut de couteau
Pour trancher dans le lard
Et faire le morceau
On fait de la musique
Comme d’autres du pain
Surtout pas de panique
Attendez le refrain.

Nous on vit à Marseille
Tout au long de l’année
La grève des poubelles
Et tout ça on connait
On est des morts de faim
Quand il nous faut manger
On cherche un magasin
Ou tout est mélangé.

Mélangeons… les tomates et les oignons
Mélangeons… le poivre et les poivrons
Mélangeons… les pastèques et les melons
Mélangeons… les jarres et les jarrons

Mélanger, y a qu’à mélanger… mélanger, y a qu’a me ! ( bis )
T’en fages pas cousin
Faï peta la sono
Faï lou son qui va bien
Boulaga lou tempo
Surtout pas de chichi
On n’est pas si fada
Elle est belle la vie
Te ve ! On voit que ça.

Viens écouter le vent
Au soleil des calanques
Ça fait passer le temps
Il parait que ça manque
On fera les brochettes
Quand on aura maison
Passe-moi la brouette
Et béton mélangeons.

Refrain

Que mierda la vida
Cuando non melangia
El chico, la chica
L’agua y pastaga

Il y avait dans mon quartier
Une chanson pour les enfants
Pour endormir bébé
Et assoupir les grands
Que chantaient …

Legir tot

Il y avait dans mon quartier
Une chanson pour les enfants
Pour endormir bébé
Et assoupir les grands
Que chantaient les mêmes
Assises sur les bans
Quand on prenait le frais
Quand il n’y avait pas de vent

Faï la ninnanna
Faï la ninna…na.

C’était quelques étoiles
Juste aux dessus de nos yeux
Et des bateaux à voiles
Qui dansaient près d’un grand feu
Tous les mauvais garçons
Ne faisaient rien de mal
Juste qu’à la maison
On trouvait ça normal.

Refrain

Bien sur le temps qui passe
Ça n’arrange pas les gens
Mes quartiers se déplacent
Et ma ville fout le camp
Il y a un moment pour tout
Et pour tout dire moi j’attends
De chanter avec vous
S’il n’y a pas trop de vent.

Refrain

Puisque le vent arrache
Les premières feuilles d’automne
Je veux que mes enfants sachent
Les chansons qui m’endorment
Et qui m’emporteront
Dans un monde un peu trop loin
Trop loin de la maison
Et du quartier d’ou je viens.

Oh oh oh oh

Il a ferme la boutique
Rue longue des capucins
Le bazar c’est basique
Et ça va …

Legir tot

Oh oh oh oh

Il a ferme la boutique
Rue longue des capucins
Le bazar c’est basique
Et ça va si ça vend bien
Il reste quelques piques
Sur les carreaux dans un coin
Au fond y’a des reliques
Qui n’ont jamais vu de saint.

Vendait! Les vis et les briques
La pommade pour les reins
Quelques anchois des tropiques
Et le gros réveille-matin
Les petits fromages de biques
De la ferme du cousin
Avec les piles éclectiques
A ouf! Les ampoules aux mains.

Vendait! Un peu d’eau qui pique
En sachet je l’entends bien
Du sent bon anachronique
Qui emboucanait bien bien
Pour les vitres du mastic
Des kilos pour trois fois rien
Et des tonnes d’élastique
Qui pétaient le lendemain.

Longue est la rue longue
Oh longue est la…
Longue est la rue longue
Oh longue elle est…
Longue est la rue longue
Oh longue est la…
Que longue elle est!
Oh oh oh oh

Il a ferme la boutique
Rue longue des capucins
Le bazar c’est basique
Et ça va si ça vend bien
Ils restent les cantiques
Et les mots qui font du bien
Les secrets des mimiques
Qu’il nous refilait pour rien.

Vendait! Plaquettes à moustiques
Et les couteaux pour le pain
Un peu d’ail, du basilic,
Lavande et le lavandin
Du raidur et la tactique
Pour le café les moulins
Et de rouges tomettes obliques
Comme le vieux Baptistin.

Vendait! Pour les nostalgiques
Des fifres et des tambourins
De l’Asie, de l’Afrique
Du nord et de tous les coins
Ve, mefi! Y a la trique
Pour faire peur aux coquins
Et des livres romantiques
Au dessus des laisses des chiens

Aux rayons de soleil
Ve les comme ils avancent
Tous les ans c’est pareil
Cap au sud de la france. …

Legir tot

Aux rayons de soleil
Ve les comme ils avancent
Tous les ans c’est pareil
Cap au sud de la france.
Les bouchons en bagnoles
Cocagne ils n’ont pas peur
Que! Sous le parasol
Il y aura le bonheur.

Sur les plages petites
C’est la vraie anchoïade
Ça leur donne la gite
A moi l’estoumagade.
Ils te passent des cremes
Qui brillent sans malice
Et degun sort indemne
On dirait des panisses.

Ve-les! Ve! Oh ze y’a pas gros
De riou a rio... Zou lamparo
Ve-les! Ve! Sardines et maquereaux
C’est le zou lamparo zou lamparo!

Ve-les! Ve-les! Zou! Ve-les! Ve-les! Zou!
Ve-les! Ve-les! Zou! Ve-les! Ve-les! ...

Dançando lamparo.....

Des qu’ils voient le ciel bleu
Ils se croient aux tropiques
On dirait qu’il y a le feu
Mefi la panique.
Pourtant rien de mechant
C’est un jour ordinaire
Mais chez eux c’est souvent
Qu’on se mouille peuchere...

Refrain / flash!

Zou lamparo zou! La machine a u.v.
zou lamparo zou! Zou!
Zou lamparo zou! La machine a u.v.
Zou lamparo zou! Zou!