Y’a le singe à la maison
Du tam-tam sur l’horizon
Des ratés dans la liaison
Et du monde sur les …

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Y’a le singe à la maison
Du tam-tam sur l’horizon
Des ratés dans la liaison
Et du monde sur les balcons

Y’a le singe dans la vaisselle
Des miettes dans le sel
Entre nous y’a l’Tabasco
Des orages tropicaux

Y’a le singe au téléphone
Des fourmis dans l’grammophone
Des nuages d’adrénaline
Et des averses de caféine

Y’a le singe dans mon plumard
Des fantômes dans mon placard
Entre nous le désespoir
Toi et moi, c’est à revoir

Mais vivre seul
Tout seul sur la banquise
C’est devant Dieu
Ma plus grosse bêtise

La vie, l’amour, mon couple et ma galère,
Lui il s’en fout
J’ai le singe à la maison

Y’a le singe dans les valises
D’la chicorée dans les reprises
Un vent violent dans les voiles
Mais où sont passées les étoiles ?

Y’a le singe dans le dentifrice
Des histoires de coulisses
Des messages sur le miroir
Amour à mort c’est d’l’humour noir

Y’a le singe dans les souvenirs
Des traces de pieds dans les soupirs
Du viandox dans le rouge à lèvres
De l’arsenic dans les colères

Y’a le singe sous les draps
Le loup est reparti au bois
Aujourd’hui un bon bouquin
Ça vaut bien une nuit de câlin

Y’a le singe à la maison
Faudrait pas qu’il prenne pension
Sans ça j’réponds plus de moi
Et tant pis pour la SPA

Y’a le singe dans toi et moi
On se demande bien pourquoi
Vu que nous deux c’est pour toujours
Ou j’ai rien compris à l’amour.

Ma femme est morte, je suis libre !
Je puis donc boire tout mon soûl.
Lorsque je rentrais sans un …

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Ma femme est morte, je suis libre !
Je puis donc boire tout mon soûl.
Lorsque je rentrais sans un sou,
Ses cris me déchiraient la fibre.

Autant qu'un roi je suis heureux ;
L'air est pur, le ciel admirable...
Nous avions un été semblable
Lorsque j'en devins amoureux !

L'horrible soif qui me déchire
Aurait besoin pour s'assouvir
D'autant de vin qu'en peut tenir
Son tombeau ; - ce n'est pas peu dire :

Je l'ai jetée au fond d'un puits,
Et j'ai même poussé sur elle
Tous les pavés de la margelle.
- Je l'oublierai si je le puis !

Au nom des serments de tendresse,
Dont rien ne peut nous délier,
Et pour nous réconcilier
Comme au beau temps de notre ivresse,

J'implorai d'elle un rendez-vous,
Le soir, sur une route obscure.
Elle y vint ! - folle créature !
Nous sommes tous plus ou moins fous !

Elle était encore jolie,
Quoique bien fatiguée ! et moi,
Je l'aimais trop ! voilà pourquoi
Je lui dis : Sors de cette vie !

Nul ne peut me comprendre. Un seul
Parmi ces ivrognes stupides
Songea-t-il dans ses nuits morbides
A faire du vin un linceul ?

Cette crapule invulnérable
Comme les machines de fer
Jamais, ni l'été ni l'hiver,
N'a connu l'amour véritable,

Avec ses noirs enchantements
Son cortège infernal d'alarmes,
Ses fioles de poison, ses larmes,
Ses bruits de chaîne et d'ossements !

- Me voilà libre et solitaire !
Je serai ce soir ivre mort ;
Alors, sans peur et sans remord,
Je me coucherai sur la terre,

Et je dormirai comme un chien !
Le chariot aux lourdes roues
Chargé de pierres et de boues,
Le wagon enragé peut bien

Ecraser ma tête coupable
Ou me couper par le milieu,
Je m'en moque comme de Dieu,
Du Diable ou de la Sainte Table !

Elles passent et elles repassent les filles nos bras
Celles qu’on aiment et qu’on ne garde pas
De leurs jupes …

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Elles passent et elles repassent les filles nos bras
Celles qu’on aiment et qu’on ne garde pas
De leurs jupes légères elles nous donnent la joie
Libres indépendantes elles n’ont besoin de moi

Refrain
Les filles de la route tous les soirs elles sont là
Pour danser la java elles ne veulent que moi

J’ai voulu la plus belle pour devenir le roi
Je suis resté fidèle et elle en profita
Un soir de pleine lune à genoux je la trouva
Avec un bon ami j’en suis resté baba

Quelques fois sur ma route je pense encore à toi
Mais celles que je préfère sont les filles de joie
Elles sont si fières et douces elles me donnent la joie
Libres indépendantes elles n’ont besoin de moi

Todo el dia, incluso la noche
Que vaya andando, que vaya en coche
Nunca me dejas, poder respirar
Lo juro, …

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Todo el dia, incluso la noche
Que vaya andando, que vaya en coche
Nunca me dejas, poder respirar
Lo juro, voy a desesperar .

Si pudiera, lograr escapar
Es imposible dejar de mirar
Esa sonrisa ,que sabes hacer
Te juro, me mata de placer.

Refrain x 2
Tu sonrisa me llena de calor
Tu mirada me llena de vapor
Cuando besas me gusta tu sabor
No me abandones licor.

Quedarme contigo y no ahogar
Me atraes tanto,me quiero acercar
Cuando te acabas,te voy a buscar
Llena vacia ,hasta vomitar.

Escalofrios, me pongo a temblar
Si nos separan,voy a explotar
El vicho que tengo,me va devorar
Esta bebida tendre que dejar.

Tu sonrisa me llena de calor
Tu mirada me llena de vapor
Cuando besas me gusta tu sabor
No me abandones licor.

Toda la noche, hasta tropezar
La danza sensual que vamos a bailar
En tus brazos,me voy abandonar
Como te voy a perdonar.

Con las estrellas, vamos a gozar
Dando vueltas al mundo y al mar
Un dia de estos tendre que viajar
Para no perderme en el bar.

No sé como vamos a salir de esta historia de ilusión
Mi coche va como un avión, tengo la rabina …

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No sé como vamos a salir de esta historia de ilusión
Mi coche va como un avión, tengo la rabina de un león
La noche no me hace miedo eso es la copla del dolor
Ya estoy harto ya no estoy ciego habre los ojos mi amor

Tengo una pena estoy helado
No encuentro el sueño ya no me canso
Ya no me engaño ya no me paro ahora yo quiero vivir
Estoy deseando que esta guera llegara hasta el final
Y ya dejamos esta vida la mala suerte se acabó

Te fuistes, recordando tu vida
Los cuernos, encima del reloj
Y te fuistes, huyendo en el camino
Sin cadena, en la realidad
Triste realidad !

Luna negra mi nena
Te estoy conociendo por la madrugada
Todos mi sentimientos se han ido
Y ahora todo es fatal

No sé, como sera mañana
Con el tiempo, me encontraré mejor
Me encontraré mejor !

Hay morena, tú estas buena
Eres fruta, y disfruto
Ya sé porque me ecuentro feliz
Me gusta fumar tu carita …

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Hay morena, tú estas buena
Eres fruta, y disfruto
Ya sé porque me ecuentro feliz
Me gusta fumar tu carita

Hay Maria, siempre corre
De boquita en boquita
Ya sé porque me ecuentro feliz
Me gusta fumar tu carita

Tengo los pulmones verdes
De tanto fumar
Cabezón de marihuana.

Quand arrive dimanche
Ma peine devient miel
Déjà dans ma nuit blanche
Je caresse le ciel

On retrouve Aloyse
Mon …

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Quand arrive dimanche
Ma peine devient miel
Déjà dans ma nuit blanche
Je caresse le ciel

On retrouve Aloyse
Mon frère chocolat
Et papi Nicola
Qui me chante Venise

On revoit Terumi
Ma cher’ soeur, ma prunelle
Comme bébé Cannelle
Mon petit frère et demi

Pas besoin d’une ronde
On est le tour du monde
Sur une île cassée
Comm’ tu peux pas rêver

Oh comme c’est bien drôle
D’inventer sous la craie
Pour chacun un grand rôle
Que l’on joue pour de vrai

A toutes les vacances
Au bal des barbillons
La nuit du réveillon
Moi j’embrasse la chance

Faut au moins deux traîneaux
Pour les doubles cadeaux
Le double de valises
Pour d’autres joies promises

Les gâtés aussi
doubles
Sauf les autres nuits
Troubles

Je le sais bien, papa
Il vaut mieux comme ça

Je veux que du dimanche
Pour les oiseaux contant
Qu’il n’y ait qu’une branche
Pour danser tout le temps

Rester toujours ensemble
Puisqu’on se ressemble
Je le sais bien papa,
Il vaut mieux comme ça.

Le monde est là tel qu’il est
Pas si beau, pas si laid
Faut le laisser s’écouler
Le laisser s’écrouler …

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Le monde est là tel qu’il est
Pas si beau, pas si laid
Faut le laisser s’écouler
Le laisser s’écrouler

Le bonheur a son heure
Et son heure a sonné
Vers la fin il se meurt
Et s’éteint à jamais

Repic :
Rien ne se crée, tout se perd et se perd
Dans ce tremblement de terre
Rien ne se crée, tout se perd et se perd
Ce n’est rien que l’on puisse faire

Pourquoi aimons-nous tant
Pour si peu de temps
Toutes nos histoires d’amours
S’estompent dans un jour

Avant que n’existe
Plus que le néant
Dansons sur la piste
Pendant qu’il est temps

Pandore est tombé
Le sort en est jeté
Laissons-le s’effiler
Laissons-le s’effriter

Tous ces empires empirent
Pourquoi les retenir
Laissons-les finir
jusqu’à leur dernier soupir.

La vallée d’or est une femme
Les derniers mutins du hasard
Grouillent devant sa trouble flamme
La quille plombée du …

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La vallée d’or est une femme
Les derniers mutins du hasard
Grouillent devant sa trouble flamme
La quille plombée du taulard
Marseille, Paris, New York et toi
Sur le mur de tes innocences
L’oeil traverse de liberté
Avec ton front clair pour puissance.

La vallée d’or joue a portée
Marseille,paris,new york et toi
Dont l’horizon déjà ricoche
A peine monte au tableau
Sans entendre sonner la cloche
Ici tes rêves prennent l’eau
Marseille, Paris, New York et toi

Qui ne partage plus tes faims
Chez toi elles ouvraient la table
Parler d’elles était ton levain
Ici elles déjà t’acablent
Marseille, Paris, New York et toi
Coquelicot sans boutonnière
Qui te rêvais maitre du feu
De ta promesse prisonnière

Ton ciel croule devant l’aveu
Marseille, Paris, New York et toi
Traînant vers des pavés tachés
De vierges vitreuses sans âge
Que l’enjeu conduit au bûcher
Les sun ligths ouvrent leurs cages
Marseille, Paris, New York et toi

Petite pomme entre deux trains
Dans le matin sans réponse
Un éclat de ciel à tes mains
Sculpteur sculpte par la défonce
Marseille, Paris, New York et toi (bis)

Qui m’étrangle de tes grands yeux
La vallée d’or est une pieuvre
Echouée sur l’autel de l’oeuvre
Elle nous crucifie tous les deux

Hoy en Sicilia mirando el sol
Adentro de la Babylon
Veo la gente de mi balcon
Los coches corren como …

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Hoy en Sicilia mirando el sol
Adentro de la Babylon
Veo la gente de mi balcon
Los coches corren como un avión
Los chicos gritan como un leon
Adentro de la Babylon
Como no tengo television
Miro la gente de mi balcon

Abro la puerta de la pasion
Mirando el sol de mi balcon
Ya tengo gana, ya tengo sed
Irme para alante adonde sea
Hoy en Sicilia, mañana Hong Kong
Juntos cantamos con Don Piraton
La vida sigue, el rio corre
Y yo escribe de mi balcon

Me gusta vivir sin tus besos
Solito con mi corazon
Compadre sigueme en el camino
Para ver si podemos volar.

Repic :
C’est le monte dabal
Où tu repars à zéro
C’est le monte dabal
Et tu repars tout en …

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Repic :
C’est le monte dabal
Où tu repars à zéro
C’est le monte dabal
Et tu repars tout en haut

Retour à la case départ
C’est le jeu qui veut ça
Un tour et ça repart
Deux tours et puis s’en va
C’est le monte dabal
Qui chemine les chemins
C’est le monte dabal
Du début jusqu’à la fin.

Tu déboules tous les chemins
Les quartiers et les routes
De Quarante à Saint-Germain
Ou de Poye jusqu’à Beyrouth
C’est le monte dabal
Où tu te lances et tu dévales
C’est le monte dabal
Où tu montes tant bien que mal

Tu déballes tout ton bagage
En gage de toute garantie
Et tu t’engages pour un voyage
Semé de roses et d’orties
La ballade s’emballe aussi
Loin de toute turbulence
Tout va de mal en pis, tant pis
Tu traces sans cesse et tu t’élances.

A peine fini tu recommences
Au tout début de la cadence
Et dans la danse tu te relances
Et tu repars dans tous les sens
Retour à la case départ
C’est le jeu qui veut ça
Un tour et ça repart
Deux tours et puis s’en va.

La balle rebondit tous les jours décolle
Dès que la balle touche le sol
Simple révélation mathématique
Élastique, technique des barbeaux
Pour le moins sympathique
Décolles les pieds du sol
Et tu verras que le bal s’affole.

Monte dabal est là- bas
La balle est jetée tout bas
Monte dabal est là-bas
La balle est pour toi
Monte dabal est là-bas
La balle est toute à moi
Monte dabal est là-bas
La balle est tout en haut
Monte dabal est ici
La balle est partie
C’est le monte dabal
Qui chemine les chemins
C’est le monte dabal
Du début jusqu’à la fin.

Pastillero, la fiesta va empezar
Pastillero, el vuelo va despegar
Pastillero, nada nos puede parar
Pastillero, ahora va empazar

Hay …

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Pastillero, la fiesta va empezar
Pastillero, el vuelo va despegar
Pastillero, nada nos puede parar
Pastillero, ahora va empazar

Hay discoteca, hay chicas que bueno
Toda la noche, me quedo bailando
No pienso en nada , y paso de todo
Llega la noche y no estoy cansado

Trago y trago, bebo y bebo
Nada me afecta, estoy colocado
Tomo y tomo, tiro y tiro
Llega el dia, y no estoy cansado.

Refrain
Pastillero, la fiesta va empezar
Pastillero, el vuelo va despegar
Pastillero, nada nos puede parar
Pastillero, ahora va empezar

Je suis sans le sou
Plus sincèrement je n’en ai que six.
Seulement six sous, c’est pas assez !
Ha …

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Je suis sans le sou
Plus sincèrement je n’en ai que six.
Seulement six sous, c’est pas assez !
Ha ! Quel souci d’avoir six sous !
Six sous pour se soûler, ça suffit pas !
Alors je me soûle avec ces sous
Mais je ne suis qu’un petit peu soûl !
Parce que six sous pour se soûler,
C’est sans compter sur ma sécheresse.
Ha ! J’aurais cent sous, ça s’rait sensass !
J’pourrais en siffler tout mon soûl,
Et j’oublierais tous mes soucis !
Mais la cirrhose me sauterait dessus,
Je basculerais dans le fossé,
Je glisserai dans les sous-sols,
Alors c’est sûr, j’me suiciderais.
Je serais soûl et décédé,
Assassiné aux spiritueux.
Mais ce ne sont que des sornettes
Le soliloque d’un boit-sans-soif,
D’un supplicié à l’abstinence,
Qui n’a qu’six sous dans sa besace,
Trop paresseux pour sa pitance
Et c’est ainsi que...
J’ai sabordé et puis pissé toute ma jeunesse
L’ivresse est ma seule maîtresse.
Alors, six ou cent sous,
De toute façon, c’est pas l’issue.

Vous qui vivez en toute quiétude
Bien au chaud dans vos maisons
Vous qui trouvez le soir en rentrant
La …

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Vous qui vivez en toute quiétude
Bien au chaud dans vos maisons
Vous qui trouvez le soir en rentrant
La table mise et des visages

Amis considérez si c’est un homme

Que celle qui peine dans la boue
Qui ne connaît pas de repos
Qui se bat pour un quignon
Qui meurt pour un oui pour un non

Amis considérez si c’est une femme

Que celle qui a perdu son nom et ses cheveux
Jusqu’à la force de se souvenir
Les yeux vides et le sein froid
Comme une grenouille en hiver

Amis n’oubliez pas que cela fut...

Toi seul qui m’accompagnes
On se croise au petit jour
Tous les jours c’est la gagne
On s’en va se …

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Toi seul qui m’accompagnes
On se croise au petit jour
Tous les jours c’est la gagne
On s’en va se coucher
En se disant bonjour
Écureuil sans épargne
Qui joue à qui perd gagne
Repars donc te coucher

J’ai cru à ton soleil
Qui m’a fait un détour
Chaque nuit chaque jour
Je pense encore à nous
C’était une ligne de vie
Qui nous faisait rêver
Éteindre l’abat jour
Avec les dents serrées

On crève à petit feu
Et ça nous fait danser
Chacun sa sarbacane
Bienvenue chez les ânes
Tu es venu me chercher
Une nuit sans sommeil
Et tout s’est terminé sur le bord d’un fossé

Ma vie était tracée Mastercard périmée
Soleil sans lendemain ainsi sera ma fin
Et j’écrirai l’amour sans raison
Sans vautour avec haine et chagrin
Soleil sans lendemain

Refrain
Soleil

Les temps sont révolus, aujourd’hui je dis stop
Je dis fin à la brume je veux plus voir l’indien
En reprenant ma plume en ce petit matin
J’ai regagné ma lune en descendant du train.

Consumer la cousine sans jamais voir le jour
J’allais de mine en mine sans faire demi tour
J’ai plus le coeur à rire j’ai plus le coeur a rien
J’ai juste envie de vivre j’ai juste envie de toi

Volveras para no perdonar
Que se creen pa’ todo gobernar
Te diran que es para ordenar
La verdad te quiren …

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Volveras para no perdonar
Que se creen pa’ todo gobernar
Te diran que es para ordenar
La verdad te quiren manejar.

Refrain
Mirando en la tele, leyendo en la prensa
Joder joder les vamos a joder
Que todo va muy bien, que todos están bien
Porque porque les vamos a creer
Que nadie pasa hambre que la vida es rosa
Joder joder les vamos a joder
Currando todo el tiempo y hasta reventar
Pagando pagando y sin poder comer

Tu tambien, te vas a espabilar
Despertar e ir a trabajar
El domingo no podras descansar
En la iglesia, te la van a mamar.

Refrain
Los tira chaquetas han llegado, han llegado
Que llueva los insultos, que llueva los insultos x2

Son los indios que hablan…no callaran
Que suenan los tambores…no callaran
Verdugon de la isla…no callaran
No hay palabra por …

Legir tot

Son los indios que hablan…no callaran
Que suenan los tambores…no callaran
Verdugon de la isla…no callaran
No hay palabra por nada…no callaran (x3)

Soy de esos gatos, que van cantando
A media noche por la ciudad
Me dicen niño, no te pierdas
El nino quiere la verdad

Tu mi vida, no me ates
Lo que yo quiero es viajar
Que la vida es un garrote
Que siempre hay que agarrar

He cruzado extrangeros
Que hablaban de alla
De idiomas y de luchas
Que la ley no callara

Ni el dios, ni el maestro
Quien no lo governara
Pensamiento de locura
Que nunca mas existira.

Son los indios que hablan…
Soy como el viento
Nadie me agarra
Yo tengo sed de libertad
La vida es como una rueda
Y siempre te alcanzara

Respirar en el monte
Y nadar nudo en el mar
Soy un pajaro sin pluma
Que solo quiere despegar.