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		  Calenda maia
		  Stille Volk 
		  
		  
		  
		 
		  
		  	
		  	
		  
		  	Calenda maia
  Ni fuèlhs de faia,
  Ni chans d’auzèl
  Ni flors de glaia
  
Non es que’m plaia,
  Pros dòna gaia …
		  
		  	Legir tot
		  	
		  	 
		  	
		  	
		  	Calenda maia
  Ni fuèlhs de faia,
  Ni chans d’auzèl
  Ni flors de glaia
  
Non es que’m plaia,
  Pros dòna gaia
  Tro qu’un isnèl
  Messatgièr aia
  Del vòste bèl
  Còrs, qu’im retraia
  Plazer novèl
  Qu’amors m’atraia
  E jaia
  
E’m traia
  Va vos, Dòmna veraia,
  E chaia
  De plaia
  ’L gelòs
  Anz que’m n’estraia
  Ma bèl’amia,
  Per Dieu non sia
  Que ja’l gelos
  De mon dan 
ria
  Que car vendria
  Sa gelosia,
  Si aital dos
  Amantz partia;
  Qu’ieu ja joiòs
  Mais non seria,
  Ni jois ses vos
  Pro no’m tenria;
  Tal via
  Faria
  Qu’òms ja
  Mais no’m veiria;
  Cel dia
  Morria, Dòmna
  Pros, qu’ie’us perdria
  Dòmna grazida
  Quecs lauz’e crida
  Vòstra valor
  Qu’es 
abelida,
E qui’us oblida,
Pauc li val vida,
Per qu’ie us azor,
Dòmn’ eissernida;
Quar per gencor
Vos ai chausida
E per melhor,
De prètz complida,
Blandida,
Servida Gensès
Qu’Erecs Enida
Bastida,
Finida, N’Englès,
Ai l’estampida.
		  	 
		  
		  
		 
		  
		 
		  D'ausir dins : Maudat
		  
		  
		  
			
			
		
		
		  
		 
	
	
		
			 fr
		  Cassandre sylvestre
		  Stille Volk 
		  
		  
		  
		 
		  
		  	
		  	
		  
		  	Fille de la lune, Cassandre sylvestre
  Elle détient la torche 
souveraine
  De l’astre lumineux à l’obscure reine
Elle hante les …
		  
		  	Legir tot
		  	
		  	 
		  	
		  	
		  	Fille de la lune, Cassandre sylvestre
  Elle détient la torche 
souveraine
  De l’astre lumineux à l’obscure reine
Elle hante les nuits de ses maléfices.
De la déesse mère, elle connaît les mystères
  De la montagne qui touche sagement le ciel
  Dans la 
ténébreuse caverne, elle va, poursuit, se terre
Possession ultime d’un secret universel.
Par dedans le culte orgiaque, elle s’allonge devant sa mère
  Et de son festin enfante les fruits de la terre
  
Materia prima sauvage, féconde la mère sans âge
On la dit berceau mais elle demeure à jamais tombe.
		  	 
		  
		  
		 
		  
		 
		  D'ausir dins : Maudat
		  
		  
		  
			
			
		
		
		  
		 
	
	
		
	
	
		
			 fr
		  Corps magicien
		  Stille Volk 
		  
		  
		  
		 
		  
		  	
		  	
		  
		  	Elle est née de l’air, du feu
  
Trempée dans l’eau de jouvence
Pâmée de corps magiciens
Dès sa funeste naissance …
		  
		  	Legir tot
		  	
		  	 
		  	
		  	
		  	Elle est née de l’air, du feu
  
Trempée dans l’eau de jouvence
Pâmée de corps magiciens
Dès sa funeste naissance
  Elle observe le monde vivant
 
Les arbres parlent doucement
La jeunesse se passe à vivre
  Dans les 
arbres, les animaux
Elle voyage par leur esprit
		  	 
		  
		  
		 
		  
		 
		  D'ausir dins : Maudat
		  
		  
		  
			
			
		
		
		  
		 
	
	
		
	
	
		
	
	
		
	
	
		
	
	
		
	
	
		
	
	
		
	
	
		
	
	
		
	
	
		
	
	
		
	
	
		
	
	
		
	
	
		
	
	
		
	
	
		
	
	
		
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		  L'armière (cart deras armas)
		  Stille Volk 
		  
		  
		  
		 
		  
		  	
		  	
		  
		  	Messagère des âmes, 
elle s’enfuit
  Vers ceux qui dans la sombre nuit
  L’appellent comme dans un chant dément
Qui sont-ils, …
		  
		  	Legir tot
		  	
		  	 
		  	
		  	
		  	Messagère des âmes, 
elle s’enfuit
  Vers ceux qui dans la sombre nuit
  L’appellent comme dans un chant dément
Qui sont-ils, que veulent-ils vraiment ?
Cart deras armas, convoi des morts
  Armière, messagère de 
l’au delà
  Elle pousse le fier attelage
Cart deras armas, chemin des sages
Du fond des âges, elle les connaît
  Translucides ombres et voix d’aînés
  Jadis êtres, désormais ils voyagent
Par l’air et par l’eau, esprits sans âge
De leur connaissance, elle s’inspire
  Les secrets du monde, de l’au delà
  Qui se forgent dans son esprit troublé
De fureur et de désir
Cart 
deras armas, convoi des morts
Armière, messagère de l’au delà
Elle pousse le fier attelage
Cart deras armas, chemin des sages
		  	 
		  
		  
		 
		  
		 
		  D'ausir dins : Maudat
		  
		  
		  
			
			
		
		
		  
		 
	
	
		
	
	
		
	
	
		
	
	
		
	
	
		
			 fr
		  La meneuse d'ours
		  Stille Volk 
		  
		  
		  
		 
		  
		  	
		  	
		  
		  	Elle le tient dans ses bras
  Géant, génie déchu
  Elle se love par ses ébats
Se noie dans sa fourrure …
		  
		  	Legir tot
		  	
		  	 
		  	
		  	
		  	Elle le tient dans ses bras
  Géant, génie déchu
  Elle se love par ses ébats
Se noie dans sa fourrure
Femme et animal
  Communion charnelle
  D’un amour orphelin
Dans 
un temps éternel
Au creux de la forêt
  Ils fécondent l’être
Qui sera à jamais
L’esprit, suprême maître
Femme et animal
Communion charnelle
D’un amour orphelin
Dans un temps éternel
Compagnon il devient
  De celle qui le vénère
  Ensemble, troublants devins
Les secrets, ils préservent
Femme et animal
Communion charnelle
D’un 
amour orphelin
Dans un temps éternel
		  	 
		  
		  
		 
		  
		 
		  D'ausir dins : Maudat