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oc
Una rata vèrda
Patric
Una rata vèrda
corrissià dins l’èrba
L’agantère doçament la mostrère a plan de gent
Totes me diguèron trempa-la dins l’òli …
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Una rata vèrda
corrissià dins l’èrba
L’agantère doçament la mostrère a plan de gent
Totes me diguèron trempa-la dins l’òli
Dins l’aiga d’Eraù e vendrà un cagaraù
Tot caud carrièra de l’uoù al numérò nòu
D'ausir dins : Chansons enfantines en langue d’oc
fr
Une feuille
Coriandre
Une feuille
Est tombée
Est tombée ici sur ton nez
Une feuille est tombée
Sur ton nez puis a tourné …
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Une feuille
Est tombée
Est tombée ici sur ton nez
Une feuille est tombée
Sur ton nez puis a tourné
Un oiseau s’est posé
S’est posé ici sur ta main
Un oiseau s’est posé
Sur ta main puis a dit à demain
fr
Une fillette de quinze ans
Ardalh
Une fillette
de quinze ans,
Vrai Dieu qu’elle est tant amoureuse
Un jour s’en va dire à sa mère : …
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Une fillette
de quinze ans,
Vrai Dieu qu’elle est tant amoureuse
Un jour s’en va dire à sa mère :
"Ma mère, il me faut un amant
Car si vous tardez davantage
J’en prendrai un à
mon plaisir."
Quand la mère entendit cela,
Que sa fille était amoureuse :
"Je la mettrai religieuse,
religieuse dans un couvent
Là tu en seras la
bienheureuse
Prière à Dieu pour tes parents !"
Quand la fille entendit cela,
Que religieuse elle devait être,
Monte là-haut dans sa chambrette
En
s’arrachant ses blonds cheveux
Et ses jolis pendants d’oreilles
En regrettant son amoureux.
Son petit frère le cadet,
Qui nuit et jour la console :
"Console-toi, ma soeur jolie,
Mon père te mariera
Et celui que ton coeur désire,
Ma mère te l’accordera."
Celui que mon coeur a charmé
N’est
point ici dans cette ville :
Il est parti en Amérique
J’espère un jour il reviendra
Rossignolet, va-t-en lui dire
Je veux mourir entre ses bras.
D'ausir dins : Polyphonies de Béarn et Gascogne
fr
Une fillette de quinze ans
Nadau
Une
fillette de quinze ans,
Mon Dieu qu’elle est tant amoureuse,
Un jour s’en va dire à sa mère,
Ma …
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Une
fillette de quinze ans,
Mon Dieu qu’elle est tant amoureuse,
Un jour s’en va dire à sa mère,
Ma mère il me faut un amant,
Car j’en serai la bienheureuse,
Je prierai Dieu à tout
moment.
Quand sa mère entendit cela,
Que sa fille est tant amoureuse,
Je vais la mettre religieuse,
Religieuse dans un couvent,
Là elle sera la bienheureuse,
Elle priera
Dieu pour ses parents.
Quand la fille entendit cela,
Que religieuse elle doit être,
Monte là haut dans sa chambrette,
En arrachant ses blonds cheveux,
Et ses jolis pendants
d’oreilles,
En regrettant son amoureux.
Son petit frère le cadet,
Qui nuit et jour se la console,
Console toi ma sœur jolie,
Mon père te mariera,
Et celui que ton cœur
désire,
Ma mère te l’accordera.
Celui que mon cœur a choisi,
N’est point ici dans cette ville.
Il est parti en Amérique,
J’espère un jour qu’il reviendra,
Rossignolet va
t’en lui dire,
Je veux mourir entre ses bras.
D'ausir dins : Carnet de chansons
fr
United bras cassés
Dupain
Combien de temps peut-on vivre
En se répétant tous les matins
Qu’on
aimerait bien, qu’il faudrait bien
Que si les …
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Combien de temps peut-on vivre
En se répétant tous les matins
Qu’on
aimerait bien, qu’il faudrait bien
Que si les choses avaient été autrement
Alors bien sûr la vie qu’on mène
Aurait été bien plus belle, plus confort
Et pourquoi bien plus, hein...
Faire semblant comme
si tout allait bien
En attendant la fin de la journée ou de l’année.
Quel est celui qui laisse passer et se contente
De vivre dans l’illusion d’un bonheur qu’il consomme
Et qui l’assomme.
Quel est celui
qui laisse passer ?
Comment marcher avec assurance et prestance
Quand on traîne sur sa face
Les traits de celui qui n’a plus faim ?
Combien de temps peut-on vivre
En espérant tous les
jours que demain sera bien
Si complice de la manoeuvre
On ne cesse d’alimenter la machine ?
Troncher bien sûr on y arrivera
Mais faire l’amour
Combien de temps cela peut-il durer ?
Quand d’échecs
en défaites
On finit par croire qu’on est le dernier des...
Chaque matin c’est le grand jour
Tombe la nuit, rien n’a bougé
Peut-être demain seras-tu celui qui décide enfin
De ne plus laisser filer ces
années qui passent.
Tous dans le même sac, nous sommes
Tous dans le même sac, nous sommes
Difficile de s’extraire et passer la frontière.
Ton histoire disparaît, tes repères sont éclatés
Tu es
désormais paré pour le grand mystère de la vie
Et tes amis ne comprennent quel sera ton chemin
Car, nul ne le sait.
D'ausir dins : Les vivants
en
oc
Upside down
Liza
If one way is up then there’s got to be down
A one-way
ticket and a silver moon
And there’s …
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If one way is up then there’s got to be down
A one-way
ticket and a silver moon
And there’s no forgetting which way is down
- You’ll get there someday if you’re no fool
Upside down,
Which way is turning me
Into
something else I learnt to hide?
Going deeper, still I find there’s no way of knowing
Where you are when you’re
Upside down
Quin que siegue lo camin
Se coneisses
la via
O sabes bèn un jorn o l’autre
Podràs agantar la luna
E se dança soleta
Sensa relambi
Vira per lo monde entier
E tanbèn dançaras amb ela
D'ausir dins : Coma ma vida
fr
oc
Urban Balèti
Fai Deli
On veut du rap musette car ici tout va trop vite,
marre des basses, des klaxons, des gens qui s’évitent …
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On veut du rap musette car ici tout va trop vite,
marre des basses, des klaxons, des gens qui s’évitent
paraît que la ville, est synonyme d’anonymat
mais je me vois mal courir nu tard le soir en bas de chez moi
je veux du vert, mais pas que pour fumer,
que mon verre jouisse du pinard d’à côté
des fêtes de villages ou on se côtoie a tout âge,
que ma voisine de palier me fasse tourner son potage
donc je prend le large mec ou plutôt la minervoise.
Je lève les voiles adieu la ville et mes ardoises.
Je me ferai chasseur cueilleur adieu bitume et pleurs.
Bonjour petite fleur je cherche la joie a toute heure.
Embarrats dins pèira, calhassa e quitran
Esperam amb paciença que carrièra se vuèja
De la folia ciutadina la nauta consomacion
De sa vida d'aparéncia ont pus ric a rason
Sortissèm la cara mutina quand las fruchas se fan raras
Partissèm ensems córrer plaças avengudas e barris
S'amusam amb las flors solas, al mitan de l'infèrn
Ne cal culhir emportar berçar e embraçar.
Ne cal plantar long del camin que te mena al campèstre
Ta cal córrer córrer córrer per sortir de la vila escura
Un pauc mai d'oxigèn per un pauc mens de sens
Lo còr que s'emplena pendent que l'esperit se vuèja.
Non mais qu'est-ce que c'est qu'cette espèce de squelette de piment d’Espelette
le ciment laisse le derrière un graff originel sur l'écorce d'un arbre,
le coeur et les deux lèvres pour un péché original!
Finie la métaphore du nid d'poule, ici pas les bagnoles y a que la gnôle qui t'saoûle.
Tu cherchais l'art de vivre dans des galeries mondaines,
tu le trouveras dans des sourires et des grosses bedaines.
Que l'Homme se plaigne dans sa tour de béton,
on part dans les vallées où il y a toutes les réponses,
finies les courses derrière les bus, je veux de la boue jusqu'au fémur,
faire la mur de la cité pour gambader sans gamberger.
Désolé citadin, si ma vie loin des villes vaut mieux que tes vitamines,
mais la vigne et le raisin, ont eu raison de ma grise mine...
Repic :
Vinha de quitran sèm los vendemiaires
E la nòstra sang, òc, nos fa pecaires
Tòca mos rasims venon de la vila
E totes mos grans aquò's biologic
Plantarem de granas, entre-mitan las parets
Creisseràn las danças, la jòia l'erbeta
E per lo Clapàs raja nòstre vin
Plan-vengut dins lo « Urban Balèti »
On veut du rap des champs des trad des chants
arrêter de glander toute la journée dans mon divan.
Bois-vert fait le délit de s'expatrier le flow dans le vent et la nature pour les idées.
Aller venez les belles on s'arrache dans les bois
on est comme des champignons c'est par la queue qu'on pourrira.
En plus ici y a personne j'ai le droit d’être vulgaire. Eh la fourmi va niquer ta mère!
Libéré par la flore je pédale sous les pétales
comme un œuf venant d’éclore qui découvre de nouvelles toiles
éteignez les projos stoppez les caisson.
Voici notre voyage champêtre qui se propage a l'unisson.
De córrer pels camins n'ai perdut la rason
Que l'aire pur caressant m'a butat tot lo long
De la talvera de vinha e de còp mai prigond
S'enfonçam dins la nuèit sus la rota boçuda
Esclafada de longa pel pè trabalhador
Tota l'annada poda talha e vendémia
Coma un eròi sens crénher frescor o ben calor
De ta sudor banhada la vinha a creissuda
E ara nos amaga per de viradas folas
Lo cep plan dreissat fa madurar sas fruchas
Manjam lo rasim quand los autres sospiran
Fasèm charivari quand los autres dormisson.
Non pas de raison de passer Quatre saisons, dans des maisons gratte ciel
a peine assaisonné est le plat dans lequel on a plus les pieds
ça serait trop demander d'y ajouter un peu de sel ?
C'est pas compliqué mec car c'est le même tableau
les fleuves vus d'en haut et tes cheveux dans l'eau
la terre vue de l'espace la merde sur tes godasses
ou toute une galaxie dans un fruit malaxé.
Te targues pas d’être bien t'as des poches sous les yeux
urban balèti les fait danser tout les deux
on peut pas faire mieux que de sérieuses sottises.
Finie la métaphore de mémé dans les orties.
Enfermés dans la pierre, les cailloux et le goudron
Nous attendons avec patience que la rue se vide
De la folie citadine de la haute consommation
De sa vie d'apparence où le plus riche à raison
Nous sortons le visage mutin quand les fruits se font rares
Nous partons ensemble courir places avenues et quartiers
Nous nous amusons avec les fleurs seules, au milieu de l'enfer
Il faut les cueillir les emporter et les embrasser
Il faut en planter le long du chemin qui te mène à la campagne
Il te faut courir pour sortir de la ville obscure
Le coeur qui se remplie pendant que l'esprit se vide.
Vigne de ciment, nous sommes les vendangeurs
Et notre sang, oui, nous fait pêcheurs
Touche ma grappe, elle vient de la ville
Et tous mes raisins, ça c'est biologique
On plantera des graines entre les murs
Pousseront les danses la joie et l'herbe
Et dans Montpellier coule notre vin
Bienvenue dans le « Urban balèti »
De courir les chemins j'en ai perdu la raison
L'air pur caressant m'a poussé tout le long
De la talvera de vigne et des fois plus profondément
Nous nous enfonçons dans la nuit sur la route bossue
Tout le temps écrasée par le pied travailleur
Toute l'année il ébranche, taille et vendange
Comme un héros sans craindre fraîcheur ou chaleur
De ta sueur baignée la vigne a grandi
Et maintenant elle nous cache pour des virées folles
Le cep bien dressé fait mûrir ses fruits
Nous mangeons le raisin quand les autres soupirent
Nous faisons charivari quand les autres dorment.
D'ausir dins : Urban Balèti
Urdès
SAPS
Se pòt dançar coma : Branle
fr
Usonac
Gigi de Nissa
De l’Union Sportive Ouvrière
Nice Athlétique Club
Je suis arrière gauche titulaire
Ou remplaçant suivant mon
heure.
Et de l‘Oli …
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De l’Union Sportive Ouvrière
Nice Athlétique Club
Je suis arrière gauche titulaire
Ou remplaçant suivant mon
heure.
Et de l‘Oli à la Madeleine
Nous portons sur les terrains,
L’esprit du jeu collectif
Notre gloire, notre cœur,
Celui qui nous rend vainqueur.
De
la Fédération Sportive Générale,
Celle des Travailleurs,
Je suis une cheville dominicale,
Entraîneur, ou fidèle joueur.
Et de St Roch à St Augustin
Nous portons sur les
terrains,
L’esprit du jeu collectif,
Notre gloire, notre cœur,
Celui qui nous rend vainqueur.
De l’Usonac, portons l’esprit et les couleurs,
A l’Usonac, à
toi mon club formateur,
A l‘Usonac, à Chiaramonti mon entraîneur,
Chantons ensemble tous en chœur
La joie de jouer le bonheur,
D’être tes vieux défenseurs.
D'ausir dins : Gigi de Nissa
oc
Ústrias
Joan-Frances Tisnèr
Qu’ei un plat de sason
dab mocharon, morilhon
de qui hèn ragoston de qui hèn ragoston
Netejà’us e pelà’us
dab …
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Qu’ei un plat de sason
dab mocharon, morilhon
de qui hèn ragoston de qui hèn ragoston
Netejà’us e pelà’us
dab duas aigas arrescà’us
en un perrec boishà’us
en un perrec boishà’us
Còser a
l’òli en
ua caishòla de tèrra de tèrra
De haria saupicà’us
(dab) sau e péber adobà’us
dab cebeta
dab cebeta agostà’us
en har còser a plaser
e quan sii a mieitat, a mieitat, a mieitat, a mieitat
hornir las ústrias.
D'ausir dins : 12 recèptas de J.A. Lespatlut