Dempuei belèu mai de tres jorns
Que siáu sus mon ordinator
Per surfar sus lo Net.flor
Dins l’espèr de rescontrar …

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Dempuei belèu mai de tres jorns
Que siáu sus mon ordinator
Per surfar sus lo Net.flor
Dins l’espèr de rescontrar la femna de ma vida enfin lo grand amor !
N’i a pron de se crebar leis uelhs
D’agachar l’escran jorn e nuech.
Ara, siáu completament cuech
A fòrça de tafurar sens trobar ma Mirèlha e sens trobar l’amor.

Alòr vau veire Eisabèu, crèse que i a’n moment que siam pas’nats dançar.
I a qu’escotar lo printemps, leis aucèus son contents e fan que de cantar.
E i a meme un rossinhòu que sibla un èr novèu e i a plus qu’a balar.
Ai de ressòrts dins lei pès, siáu un pauc mal-adrech, mai sabe ben virar.

E tot en dançant ton capèu
A volat dins lei grata-quieus.
Mai li fai pas ren, Eisabèu.
Vira-vira-vira lèu, belèu que sens capèu siás plus lèsta que ieu.
Mai perdequé vòs plus dançar ?
As-ti paur de t’enraumassar ?
Ieu, vau pas te lo ramassar :
Ai tròp paur de m’estrassar e lei mans e lo quieu dedins lei grata-quieus !

Laissa aquò bèla Eisabèu, crèse que i a’n moment que siam pas’nats dançar.
I a qu’escotar lo printemps, leis aucèus son contents e fan que de cantar.
E i a meme un rossinhòu que sibla un èr novèu e i a plus qu’a balar.
Ai de ressòrts dins lei pès, siáu un pauc mal-adrech, mai sabe ben virar.

Tot-an-un còp, la blondineta,
De dansar s’arresta tot net
Per me dire que sus lo Net
Se pòu trobar de berets, de capèus, de casquetas emai de capelets.
Atuba, atuba ton PC,
Carga, carga ton DVD
E puei pica sus ton clavier :
Lo www.laspagatlocapèu.net.

En esperant que se carga, anem, vène Eisabèu, i a lo temps per dançar.
I a qu’escotar lo printemps, leis aucèus son contents e fan que de cantar.
E i a meme un rossinhòu que sibla un èr novèu e i a plus qu’a balar.
Ai de ressòrts dins lei pès, siáu un pauc mal-adrech, mai sabe ben virar.

Macarèu ! Mai an empegat
Un virus qu’a tot rosigat :
E lo disc dur a cagat,
Lei fichiers son sagatats, la rata es amossada, e siam dins lo panèu !
Fau pas ne’n plorar, Eisabèu,
Laissa un pauc ton PC lèu-lèu.
Pòs dire adieu a ton capèu,
E puei d’abòrd sens capèu, lo solèu de tei peus es mila còps plus bèu !

Per oblidar Eisabèu, anem-anem-anem, anem un pauc dançar.
I a qu’escotar lo printemps, leis aucèus son contents e fan que de cantar.
E i a meme un rossinhòu que sibla un èr novèu e i a plus qu’a balar.
Ai de ressòrts dins lei pès, siáu un pauc mal-adrech, mai sabe ben virar.

Poesiaren hegoek
Sentimentuzko bertsoek antzaldatzen zutena

Plazetako kantari bakardadez josia,
Hitzen lihoa iruten
bere bornean irauten oinazez ikasia

Nun hago, …

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Poesiaren hegoek
Sentimentuzko bertsoek antzaldatzen zutena

Plazetako kantari bakardadez josia,
Hitzen lihoa iruten
bere bornean irauten oinazez ikasia

Nun hago, zer larretan
Urepeleko artzaina,
Mendi hegaletan gora
Oroitzapen den gerora
Ihesetan joan hintzana

Hesia urraturik libratu huen kanta,
Lotura gustietarik
Gorputzaren mugetarik aske senditu nahirik.

Azken hatsa huela bertsorik sakonena,
Inoiz esan ezin diren
Estalitako egien oihurik bortitzena

Refrain :
Y’a pas bon aussitôt que tombe l’ailoli.
Y’a pas bon quand il n’y a personne dans ton lit …

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Refrain :
Y’a pas bon aussitôt que tombe l’ailoli.
Y’a pas bon quand il n’y a personne dans ton lit
Y’a pas bon quand tu n’es pas content de ta vie
Y’a pas bon si ton visage jamais ne sourit.

Viens plutôt danser avec nous dans la partie,
Viens voir comme lrs filles sont belles au ragga baleti.
Le bonheur passe souvent par des détails tous petits.
C’est facile, quand on veut, de voir le soleil à minuit.

Tous les matins tu te lèves tôt prêt pour une journée de boulot,
Tu te laves, tu t’habilles et tu bois un café chaud,
Tu vas trimer toute la journée afin de remplir le frigo,
Si ta vie s’arrête là, c’est sûr que c’est pas rigolo.
Y’a pas bon le patron, y’a pas bon le pognon,
Y’a pas bon tous ces pébrons, tous ces faiseurs de sermons
Qui te prennent la tête pour un oui pour un non,
Qui ne t’apportent, en vérité, jamais la moindre solution.

Refrain

Il faut savoir regarder dans une autre direction,
Se dégager de cette étreinte qui oppresse les poumons,
Les deux yeux écarquillés pour une nouvelle vision,
Te trouver un nouveau combat et puis te jeter dans l’action.
Y’a pas bon l’inhibition, y’a pas bon la frustration,
Y’a pas bon les blablablas de ceux qui font l’opinion,
Qui refont croire qu’eux seuls changeront la situation
Et qui s’en foutent royalement sitôt passer les élections.

Refrain

Un être humain c’est si fragile et sa vie ne tient qu’à un fil.
Au début il est si mignon avec ses gestes malhabiles.
Un peu plus tard, adolescent, pour lui ça devient difficile.
Ceci est vrai pour un garçon, ceci est vrai pour un fille.
On lui dit tout ce qu’il doit faire surtout de tenir tranquille.
La société aime les jeunes s’il sont sages et bien dociles.
Mais y’a pas bon, pour un minot,
Quand on le bloque depuis le berceau.
En vieillissant il devient idiot
Et c’est comme ça qu’un homme devient cono.
Aujourd’hui je suis motivé, j’ai envie de bouléguer.
J’ai l’énergie et les idées, en tête un moulon de projets,
Des convictions, une passion que j’essaie de communiquer
Plein de chansons, de mélodies, le but c’est de faire danser.

Refrain

Viens plutôt danser avec nous dans la partie,
Viens voir comme les filles sont belles au ragga baleti.
Le bonheur passe souvent par des détails tous petits.
C’est facile, quand on veut, de voir le soleil à minuit.

Et il croyait qu’il pouvait rêver
Il croyait qu’il pouvait voler
Et il s’est rétamé quand il a découvert
La …

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Et il croyait qu’il pouvait rêver
Il croyait qu’il pouvait voler
Et il s’est rétamé quand il a découvert
La violence sauvage de cette terre
Il s’est bien rétamé lorsque ses yeux ouverts
Ont pu voir défiler la misère…
Et il croyait qu’il pouvait donner
Il croyait qu’il pouvait aimer
Et quand un jour lui apparu la vérité
Il n’a pas eu assez pour pleurer
Ni de larmes amères, ni de son sang si fier
D’être né sous l’étoile du berger

Mais il ne pliera pas sous le feu de tous ces soldats
Y nous auront pas, ces petits soldats
Y nous auront pas, ces petits soldats
Y nous auront pas, ces petits soldats
Et il croyait qu’il pouvait rêver
Il croyait qu’il pouvait voler
Et quoique vous fassiez le sourire aux oreilles
Il ira par les routes et les chemins
Et quoique vous fassiez vous n’irez pas bien loin
Lui il ira bayer aux corneilles
Il ne pliera pas sous le feu de tous ces soldats
Y nous auront pas, ces petits soldats
Y nous auront pas, ces petits soldats
Y nous auront pas, ces petits soldats
Et il croyait qu’il pouvait donner
Il croyait qu’il pouvait aimer
Et ce qu’il a à dire cette voix ridicule qui s’élève au milieu de néant
Tout le monde s’en fout, ils ne pensent qu’à une chose :
Devant quel film ils vont bien pouvoir s’endormir ce soir…

Mais lui ne pliera pas sous le feu de tous ces soldats
Y nous auront pas, ces petits soldats
Y nous auront pas, ces petits soldats
Y nous auront pas, ces petits soldats
Y nous auront pas… Y nous auront pas…
Y nous auront pas… Y nous auront pas…

Quand, survolant les clivages, les étiquettes, d’un endroit devenu plus parisien que les parisiens. De ce trou du cul du …

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Quand, survolant les clivages, les étiquettes, d’un endroit devenu plus parisien que les parisiens. De ce trou du cul du monde, plus bétonné et plus lourd que le plomb, appelé Comté, s’éleva soudain un slogan révolutionnaire. Plus rouge que les poivrons l’été, plus anarchiste que le Paillon lorsqu’il dévale et avale la pente jusqu’à la mer marron. Un cri résonnant qui d’un coup éclaire par milliers les cervelles en attente. Urgentes de partager l’essence et le fond de cette profonde pensée :
Volem viure sens ren fotre au pais.

Car pour de bon bon,
Nux Vomica revient
Ecoute donc donc
le son niçois écoute bien
Comme c’est bon bon
Oh oui comme c’est bien !
Car ainsi font font
les niçois et puis s’en vont.
Ecoute donc donc
le son niçois écoute bien
Comme il est bon bon
Oh oui comme il est bien !
C’est comme ils font font
Encore un tour disparaîtront
Et ainsi sont sont
Les niçois et puis s’en vont.

Maudit de l’extérieur, marginal de l’intérieur.
Gardaren lou moral pour un monde meilleur.
A l’extérieur de ceux qui se croient supérieurs,
On hissera Nice à nos valeurs.
Quel est cet ailleurs qui dirige en malheur
Mon quotidien et me transforme en râleur ?
Quel est cet ailleurs qui dicte en douceur
L’oubli d’ici pour un monde meilleur ?
Qui c’est ce meilleur qu’on doit être à toute heure ?
Cet être Tarzan ignorant la douleur.
Où est l’être pensant
Se demandant dans cette course à l’argent
mais, où est mon bonheur ?

Je n’ai pas une culture, j’en ai au moins deux.
Si ça les fait caguer, moi ça me rend heureux.
Dans ce drôle de monde, il ne faudrait pas qu’il n’y ait qu’une langue, la leur.

D’une image, caricature, croquis, de cette grimace de nous soudain jaillit la lumière assourdissante. Lucide comme l’eau sur la grève de bon matin. De cet éclair, foudre, montagne d’intelligence, de cet endroit que tous croyaient maudit, surgit la phrase qui tue, soyez tout ouïe :
Le chômage on s’en fout, plus de travail du tout !

Il y des fois que
Il y a des gens qui
Il y a des cas où
Des événements dont …

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Il y des fois que
Il y a des gens qui
Il y a des cas où
Des événements dont
On se souviendra toujours

De ses tous premiers jours
De ces jours malheureux
De son premier tarpé
Des copains de quartier
Et de son premier amour

À chacun ses joies à chacun ses douleurs
À chacun ses rires et à chacun ses pleurs,
On est tous des rois mais on ne le sait pas
On est tous élus mais on ne le sait plus.

Je sens bien qu’il faudrait
Un peu plus se lâcher
Un peu plus inventer
Etre plus motivé
Pour faire bouger son quartier

Il faut organiser
Une belle soirée
Une belle tablée
Une sono branchée
Et le balèti peut commencer…

Qu’est-ce qui fait qu’on se sent tout à coup mieux dans sa vie ?
Est-ce le fruit du hasard ou est-ce un tour de magie ?
Un beau matin tu te réveilles et tu te sens aïoli
Serait-ce le fait d’une fée qui serait venue dans la nuit ?
Subrepticement, sans bruit se serait glissée dans ton lit,
Murmurant à ton oreille son adorable gazouillis,
T’aurait fait voir mille merveilles tout droit venues du paradis…
Mais non couillon, c’est le soleil qui te dit "salut c’est midi".
On a toujours raison
De savourer le bon,
De laisser le mauvais aux pébrons.
On a toujours le choix
Mais entre quoi et quoi ?
Vas-y boulègue et l’avenir te le dira.

Ici-bas on ne fait que passer
Mais une trace je crois qu’il faut laisser,
C’est ça la classe, il ne faut pas l’oublier :
Se surpasser, se dépasser, fait avancer.

Ne pas se manquer
Bien communiquer
Aimer rigoler
Ne pas bloquer sur la monnaie.

Qu’est-ce qui se passe ? Dites-moi, je sens le doute s’installer,
La jeunesse ne sait plus du tout à quel saint se vouer,
Les élites occidentales sont complètement paumées,
L’intégrisme se répand, le fascisme est à ses côtés
La guerre gagne du terrain, elle est civile et bien armée.
Pour ma part je suis pas serein, car ça pourrait nous arriver
Je fais pas de préchi précha, je viens pas te casser les pieds
Je viens juste te rappeler que le monde est tel qu’on le fait.

Repic :
Y a des garçons pour les filles
Des filles pour les garçons
L’opéra pour la Bastille
L’apéro pour …

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Repic :
Y a des garçons pour les filles
Des filles pour les garçons
L’opéra pour la Bastille
L’apéro pour les glaçons
Y a des garçons pour les filles
Des filles pour les garçons
Y a des filles pour les filles
Et des garçons pour les garçons

Y a le foin pour les aiguilles
Le blé pour le charançon
L’hameçon pour les anguilles
L’âme-soeur pour l’unisson
Y a le goût pour les papilles
Les papis pour les chaussons
Y a le pied pour l’espadrille
Y a le papier pour le canson
Y a le jaune pour les djonquilles
Le blues pour Robert Johnson
Le tracteur pour qui s’outille
Et Massey pour Ferguson
Les mantilles pour la Castille
Et les mentaires mon cher Watson
Les poètes pour les chevilles
Les pouets-pouets pour les klaxons
Les cadenas pour les grilles
La clef pour le paillasson
Le juge pour le gorille
Et Brassens pour la chanson

Y a le C pour la cédille
Le Q pour le caleçon
Le X pour l’émoustille
Et Aix pour le calisson
Saint-Jacques pour les coquilles
Compostelle pour le poinçon
Y a le vin pour Vintimille
Et la beu pour Besançon
L’herbette pour la faucille
Et l’air con pour d’Ormesson
Le taureau pour les banderilles
Les bandas pour la bande-son
Les fesses pour qu’elles tortillent
Les professeurs pour les leçons
Y a ça redémarre pour la chenille
Y a ça s’arrête pour le poisson
Le canasson pour l’étrille
Et le cheval pour l’Arçon
Les mulets pour les Alpilles
Des ânes chez Ardisson

Y a Dalida pour les trilles
Et Dalila pour Samson
Le petit salé pour les Antilles
Le gwo ka pour les bas sons
L’autonomie pour les lentilles
L’indépendance pour le cresson
La danse pour les gambilles
Les gambas pour la cuisson
Y a les montres pour les broquilles
Et y a quartier pour Bresson
La capitale pour ce qui brille
Le Capitole pour Plasson
La nation pour les pupilles
L’Etat pour les franc-maçons
Balladur pour la camomille
La vase centriste pour Soissons
Madelin pour les bisbilles
La Madelon pour la boisson
Les serpentins pour joyeux drilles
Et les serpents pour qui ils sonts ?

C’est au Mexique raggamufin que je mets l’apostrophe
Dans un lieu à la télé toujours oublié par la voix off …

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C’est au Mexique raggamufin que je mets l’apostrophe
Dans un lieu à la télé toujours oublié par la voix off
Il te faut m’accompagner dans la selva Lacandón
Où la colère chiapanèque depuis longtemps résonne
Exploités, maltraités, ça va faire 500 ans !
Obligés de travailler très très dur pour le diable blanc
Sur leurs propres terres ils sont victimes du silence
De la communauté internationale ne pensant qu’à l’immense
Marché représenté par les pays sous développés
Plein de ressources naturelles et de main d’œuvre mal payée
Escota aquò raggamufin, escota aquò, encara un còp !

Ya basta raggamufin Ya basta
El pueblo unido jamás será vencido
Ya basta compañeros Ya basta
El pueblo unido jamás será vencido!

Depuis plus de 50 ans au pouvoir était le PRI
Parti révolutionnaire institutionnel et puis
C’est ce que les pays riches appellent la démocratie
Tant que coule et coule encore le robinet du profit
Avec les Etats-Unis et le Canada
Le gouvernement signa les accords de l’ALENA
Par dessus la frontière on délocalise à tour de bras
Pas question de négociation pas question de syndicat
La culture traditionnelle du mais c’est le passé
Faut se mettre aux OGM ou dans les villes aller travailler
Aller travailler

Ya basta raggamufin Ya basta
El pueblo unido jamás será vencido
Ya basta compañeros Ya basta
El pueblo unido jamás será vencido!

1994 le premier janvier,
Le Chiapas s’est alors brusquement enflammé
Prenant les armes et tenant tête à l’armée
Par la voix de Marcos les indiens se sont exprimés
Depuis Marcos est en poster, dans les journaux, les médias
Mais l’espoir n’est pas dans ce théatre de la langue de bois
Reconnaissons la force de ceux qui loin des télévisions
Donnent corps au jour le jour à la contestation…

Ya basta raggamufin Ya basta
El pueblo unido jamás será vencido
Ya basta compañeros Ya basta
El pueblo unido jamás será vencido!

Lo monde l’embarran de luenh
Sus lo fuèc ara bufa lo vent
Manjan lo silenci, lo vuege nos atrapa
Cercam per nos batre, viva Zapata !
Propaganda, publicitat, television, sègle liberau…
La mòrt es aquí, lo patiment es multinacionau !
Veiràs que deman es encuèi dins ta boca
Picam dau còr de Chile au Babazoc..
Dins lei cèus dessenhats d’esperanças
Ma fista !
Avançan lei secrètas desiranças
Zapatistas.
Au cròs dei mans, dins la brasa dei contèstas
Lei dolors s’escafan en fin nos rèsta
Una paur que pista
Nòstre pantais zapatista.

Los ojitos de mi cara
¿quién me los quiere comprar ?
Los vendo por traicioneros
Porque publican mi mal...

I …

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Los ojitos de mi cara
¿quién me los quiere comprar ?
Los vendo por traicioneros
Porque publican mi mal...

I em diuen que no soc
Un cantant molt serios

Ayer tarde vi vender
En la plazuela real
La palabrilla de un hombre
Nadie la quiso comprar...

I em diuen que no soc
Un cantant molt serios

El senor Fulano de Tal
Mira la televisión
Bebe agua mineral
Espera la revolución...

Che, yabumbé
Che, yabumbá

Tu as appris tout petit, qu’il n’y a plus de dinosaures.
Mais tu as été surpris, un soir dans la …

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Tu as appris tout petit, qu’il n’y a plus de dinosaures.
Mais tu as été surpris, un soir dans la station des Orres.

Qu’elle est donc cette créature ?
Descend-t-elle de ses sommets ?
Certains bipèdes ont la vie dure... bien au frais !

Yéti yéti y-es-tu ?
Ou te caches-tu ?
Yéti yéti y-es-tu ?
Déguisé en homme de la rue,
Juste un peu plus poilu.
Yéti yéti y-es-tu ?
Tu as survécu !
De l’Hymalaya tu es venu.
Moi je t’ai reconnu !

Si le yéti existe, il doit bien y avoir des femelles !
On peut les reconnaître, à leur toison, des pieds aux aisselles.
Tu en as déjà rencontré.

Ca t’a plut ou ça t’a fait gerber.
Près du poil tu t’es réchauffé... quel « grand pied » !

Yéti yéti y-es-tu ?
Ou te caches-tu ?
Déguisé en belle inconnue,
Juste un peu plus poilue.
Yéti yéti y-es-tu ?
Ah ! te voir enfin nue !
Dans la neige, tu ne cacheras plus... ta toison velue !

Quelquefois je souris, au son du camion de glaces.
En effet, sucer un yéti ça n’a rien de dégueulasse.

Si Annie aimait les sucettes,
Moi c’est des yétis que j’achète !
Pour rafraîchir les p’tites minettes... rien de tel !

Yéti yéti y-es-tu ?
Ou te caches-tu ?
Dommage, tu as déjà fondu.
Mou, tu es devenu !
Yéti yéti y-es-tu ?
Etes- vous convaincus ?
Car moi je n’en dirais pas plus !
Je veux pas trahir JMU....